sábado, 4 de diciembre de 2021

Así están sobrellevando las tensiones y la histeria colectiva nuestros vecinos franceses. Es la diferencia entre ser la primera y más atigua república de Europa y ser la única monarquía europea heredada de un dictador que, dejó todo atado y bien atado, y acabó con toda posibilidad de ser alguna vez, una república federal, democrática y decente...En España no hay ni un hueco en los medios para que se expresen democráticamente y sin que los lapiden y amordacen, los científicos, médicos y ciudadanía, que, legítimamente, no comparte el histerismo provacunil, y es crítica con la imposición cerril y la gestión de lo que estamos soportando. Toda idea crítica se devalúa mediáticamente dejándola en manos de "Cuarto Milenio" y sus fantasmadas, un modo muy sutil de devaluar la seriedad y la importancia del argumentario centífico. ¿Por qué no se hace un debate en el Congreso y se invita a participar e informar también directamente a médicos, sanitarios e investigadores y juristas, que no son antivacunas, sino que tienen datos veraces, concretos y diversos que agrandan el horizonte de las respuestas a la Pandemia, aportando información positiva y esperanzadora con experiencias concretas y distintas a la imposición cuartelera con que actualmente esos medios están rejoneando salvajemente la realidad y con ello, aumentando el miedo, los recelos, la angustia y el sentimiento desesperado de indefensión total entre los más vulnerables y manipulables, o sea, la mayoría?¿ Por qué esos medios, en vez de dedicarse al acojone feroz y constante, al acoso violento de los periodistas a sueldo del Ibex35, no dan la misma monserga a los gestores públicos y a las empresas filibusteras/puertagiratorias de la energía y dueñas de cadenas informativas, que viendo lo que hay convirten en dogma determinados parámetros y en anécdota humorística o en chiste ingenioso el drama social de que el recibo de la luz se convierta en pareja de hecho y cohecho del virus y que haya que elegir entre morir por una gripe, incluso vacunados contra ella, o morir por no poder pagar la compra, la luz, el agua ,el alquiler, las mascarillas y los test de antígenos, porque el salario y/o la pensión ya no dan para más, mientras los precios suben sin control y lo que ayer costaba 10€, hoy, de pronto, cuesta 18 y la semana que viene, 25, etc, etc...? Ante semejante panorama, tal vez lo peor no sea morirse en cuatro días por el dichoso virus, sino vivir "sanamente" machacados en semejante demolición exponencial, y en manos de lo más cenutrio, torpe, insolidario e irresponsable del mundo mundial. ¿Cómo gente con esas conductas y actitudes, se atreve a llamar egoístas a quienes, con demasiados motivos evidentes, no confían en las vacunas tal como están gestionadas? Sin autopsias nunca sabremos de qué se mueren cada día cientos de personas, eso para empezar. Es posible que hasta las gripes de los últimos inviernos fuesen producto del Covid-18, 17, 16, etc...Todos los inviernos muere gente contagiada de gripe. ¿Quién nos dice que tener la casa en constante ventilación para evitar el virus, no nos está llenando de contaminación mediambiental y de dióxido de carbono, más los humos tóxicos de los vecinos fumando con las ventanas abiertas,en los balcones y terrazas de alrededor que nos llenan la casa con sus aerosoles tabaquiles, vacunados o no? El miedo y la obsesión fomentada hasta por el propio Estado también es violencia, baja defensas, debilita la resistencia y provoca enfermedades. Los gobiernos e instituciones de todos los partidos, sin excepción, no deberían ignorarlo y si lo ignoran no deberían gobernar ni controlar lo que no entienden ni comprenden hasta que no tiene arreglo, como es la hecatombe climática, inseparable de cualquier pandemia, sin duda. El negacionismo no es un camino, es una cerrazón, como lo es el endiosamiento de las vacunas. No es cuestión de ideologías, de dogmas "científicos" (la ciencia es incompatible con el dogmatismo), ni de poderes e imposiciones por la fuerza y la presión, sino de ética, conciencia, luces y discernimiento. Ains!

 

Passe sanitaire : "les trois arguments avancés par le Conseil d'Etat sont caducs" Diane Protat

Publié le 03/12/2021 à 19:00
"Le Conseil d'Etat ne peut dire tout et son contraire" Me Diane Protat, au "Défi de la vérité"
F. Froger / D6 / FRANCESOIR
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Auteur(s): FranceSoir

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Habituée de nos entretiens en "visio", mais pour la première fois sur notre plateau, Maître Diane Protat a relevé le défi ! Au sommaire de cette interview : le recours déposé auprès du Conseil d’État qu'elle porte pour l'association BonSens, recours qui sera audiencé avec ceux d’autres collectifs, comme "Via - la voie du peuple" de Jean-Frédéric Poisson, ou le Cercle Droit et Liberté, contre le décret du 25 novembre.

Pris à la suite de la conférence de presse d’Olivier Véran du même jour, celui-ci fait passer la durée de validité des tests pour obtenir un passe sanitaire de 72 à 24 heures. Il prévoit également que toutes les personnes de plus de 18 ans doivent effectuer une dose de rappel au plus tard sept mois après leur dernière injection afin de conserver un schéma vaccinal complet. Dernier point important (qui a souvent été occulté) : l’impossibilité pour les habitants territoires d’Outre-mer de se rendre en métropole s’ils ne sont pas vaccinés, sauf motif impérieux. « Ce qui veut dire que beaucoup gens ne pourront pas passer les fêtes en famille, car cela n’est pas considéré comme impérieux », souligne Diane Protat.

De manière claire et pédagogique, l’avocate a démonté les uns après les autres les arguments avancés par le Conseil d’État afin de valider le principe du passe sanitaire. « Au départ, [il] n’était prévu que pour les rassemblements de plus de 5 000 personnes. […] Donc le Conseil d’État avait considéré que l’atteinte aux libertés fondamentales était limitée, car cela ne concernait pas les activités de la vie quotidienne. » Un argument rendu caduc par l’extension du passe sanitaire à la suite du discours d’Emmanuel Macron du 12 juillet.

La juriste fustige également le déremboursement des tests pour les non-vaccinés. « C’est comme si l’on faisait payer la radio des poumons à un fumeur », remarque-t-elle.

Plus important encore : « Le Conseil d’État considérait que l’extension du passe sanitaire était encore tolérable […] tant qu’il demeurait possible pour les non vaccinés de faire des tests gratuitement et que la durée de ces derniers n’était pas limitée. » Ainsi là-encore, ces réserves ne sont plus d’actualité aujourd’hui.

L’audience devant le Conseil d’État est programmée pour le mercredi 8 décembre. Les plaignants souhaitant s'y joindre pour une intervention volontaire ont jusqu'à mardi pour le faire.

Auteur(s): FranceSoir

Contre le passe sanitaire et le "tout vaccin", les manifestants maintiennent la pression

Publié le 04/12/2021 à 10:10
Agenda des manifestations des 4 et 5 décembre
AFP / FS
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Auteur(s): FranceSoir

Ce week-end, les manifestations se poursuivent dans toute la France, contre la vaccination exagérée et le passe sanitaire. À Paris, ce samedi 4 décembre, six manifestations sont annoncées :

Place Vauban dès 13 heures ;
Place du Maréchal Juin à 14 heures ;
Place de la Bourse à 14 h 30 ;
Place de la République à 10 h 30 ;
Place du 18 juin 1940 à 14 heures.

Voici la liste non exhaustive des manifestations sur tout le reste du territoire français, proposée par l’Agenda des manifestations du Mouvement citoyen sans étiquette :

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SAMEDI 4 DECEMBRE


DIMANCHE 5 DECEMBRE

Auteur(s): FranceSoir

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Des soignants positifs au covid peuvent exercer à l'hôpital Nord Franche-Comté

Publié le 04/12/2021 à 15:18
Hôpital Nord Franche-Comté
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Auteur(s): FranceSoir

Alors que de nombreux soignants et professionnels de santé non vaccinés ont été suspendus par leurs employeurs en phase de recrudescence de l’épidémie, le Premier ministre Castex avait fait une sortie remarquée le 5 novembre 2021 sur la pénurie de soignants pour répondre à la reprise épidémique

Une note de service de l’hôpital Nord Franche-Comté en date du 3 décembre 2021 dévoile la conduite à tenir pour les professionnels en cas de contact ou de test positif. Et c'est avec surprise que l’on peut lire que les professionnels de santé ayant un résultat Covid positif par test PCR ou antigénique peuvent continuer à soigner des patients s’ils sont non symptomatiques. Connaissant la période d’incubation de la maladie ainsi que la transmissibilité de la maladie, une personne testée positive peut donc continuer à soigner. Il est cependant précisé dans la note que ceci doit être fait en respectant les précautions d’hygiène et un suivi de la personne testée positive. Ceci est donc une première puisque jusqu’à présent toute personne testée positive devait faire l’objet d’une procédure d’éviction du personnel de soin pour une période de 10 jours. Les malades qui se rendent à l'hôpital en ayant au préalable présenté un test négatif sont ainsi susceptibles d'être contaminés par des soignants positifs au covid.

La tension hospitalière et le risque de rupture de l’offre de soins en période de reprise épidémique sont invoqués pour justifier cette mesure, alors que des milliers de soignants non-vaccinés et qui seraient en mesure de fournir un test négatif ont été suspendus.

Cette situation incongrue ne manquera pas de faire bondir les syndicats des soignants, tout en fournissant des arguments supplémentaires aux avocats qui pourront attaquer des ruptures d'égalité.

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